Con tinta de tus lágrimas (Francis Cabrel)
Puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu’on est fou, puisqu’on est seul
Puisqu’ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J’aimerais quand même te dire,
Tout ce que j’ai pu écrire
Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux
Je n’avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder j’en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J’aimerais quand même te dire,
Tout ce que j’ai pu écrire
C’ est ton sourire qui me l’a dicté
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève
Et si malgré ça j’arrive à t’oublier
J’aimerais quand même te dire,
Tout ce que j’ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Et puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu’on est fou, puisqu’on est seul
Puisqu’ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J’aimerais quand même te dire,
Tout ce que j’ai pu écrire
Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux
Ahora que duerme todo entre los dos
Qué loca tú, qué loco yo
Qué solos al final
Ahora que estamos libres cada cuál
Sólo me queda por decir
Que todo aquello que escribí
Lo hice con tinta de tus lágrimas
Tanto mirarte que no pude verte
Y me olvidé de tus cadenas
Y mi propia muerte
Soñaba con beber la libertad
Sólo me queda por decir
Que todo aquello que escribí
Lo hice con tinta de tus lágrimas
Y aún andarás descalza por mis sueños
Y asomarás por donde asoma
El blanco sol de enero
Y si por casualidad te he de olvidar
Sólo me queda por decir
Todo aquello que escribí
Será de tí, será lo nuestro
Ahora que duerme todo entre los dos
Qué loca tu, qué loco yo
Qué solos al final
Ahora que estamos libres cada cuál
Sólo me queda vor decir
Que todo aquello que escribí
Lo hice con tinta de tus lágrimas
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